Un grave récit fondé sur l’Histoire récente, en forte résonnance avec notre Présent.
Méditation sur les choix douloureux entre « servitude volontaire » et résistance.
Éditeur : Mialet Barrault
Très belle soirée passé en compagnie d’Hervé Le Corre venu présenter son nouveau roman « Qui après nous vivrez » paru aux éditions Rivages dans la collection Rivages/Noir.
Dans continuité de ses formidables romans noirs Hervé le Corre délivre un récit d’anticipation haletant dont les lueurs d’humanité éclairent un monde en chaos.
Au près de ses personnages, l’auteur tisse des fils narratifs unissant trois générations de femmes combattantes et aimantes.
Grand coup de cœur de la librairie.
Merci à l’auteur pour sa générosité et sa bienveillance, son esprit espiègle et son sens de l’humour.
Un grand merci au public présent et à Thierry Corvoisier sans lequel cette rencontre n’aurait pu avoir lieu.
Grande figure du roman noir, Hervé Le Corre signe une dystopie vertigineuse et palpitante incarnée par une galerie de personnages qui — confrontés à des situations extrêmes — font preuve de résistance et d’humanité face au chaos.
L’auteur démontre une nouvelle fois son art de restituer des atmosphères et de capturer les dérives d’un monde qui s’effrondre.
Sensoriel et puissant, alerte et poignant, le récit vous tient en haleine de bout en bout, réveillant chez les protagonistes, proies ou prédateurs, des peurs archaïques et des violences primales.
Trois générations de femmes résilientes, solidaires et inoubliables.
Éditeur : Rivages / Noir
Sans se départir de son talent de conteur ni de son art de géographe, Sylvain Tesson part en quête de beauté le long de l’arc celtique.
Entre terre, mer et ciel, au gré des paysages parcourus, l’auteur convoque l’Histoire et exprime l’espoir, ponctuant son récit d’aphorismes inspirés qui tantôt célèbrent l’immuable, l’invariant, tantôt pourfendent sans réconciliation possible « un monde gouverné par la stupidité des machines et la méchanceté des masses ».ie tourmentée et de la genèse de ses œuvres.
Éditeur : Les Equateurs
Dans ce roman qui n’en est peut-être pas un, à la fois sérieux et plein d’humour, personnel et historique, érudit et léger, P. Nori nous révèle sa passion pour Dostoïevski à travers l’évocation de sa vie tourmentée et de la genèse de ses œuvres.
Traduit de l’italien par Nathalie Bauer et du russe (textes inédits) par Paul Lequesne.
Éditeur : Philippe Rey
L’auteur islandais possède ce don de dilater le temps et l’espace, entrainant le lecteur dans un récit inventif, tout à tout poignant et fantasque.
Avec pour confidents les paysages et les défunts le narrateur exprime son chagrin, sa solitude et ses espoirs, au gré des rencontres réelles ou fantasmées, célébrant ainsi le pouvoir de l’imagination.
Traduit de l’islandais par Eric Boury.
Éditeur : Bourgois
Fils d’un médecin de la communauté chrétienne du Caire, Tarek reprend le cabinet de son père au début des années 80.
Jeune marié, il ouvre un dispensaire dans un quartier pauvre auquel il consacre une journée par semaine. Il y rencontre Ali et sa mère malade et les fréquente régulièrement. Il va se laisser surprendre par une passion amoureuse insoupçonnée, s’y abandonner et en subir les dramatiques conséquences.
Un premier roman particulièrement bien écrit et construit qui révèle le carcan des coutumes et des tabous emblématiques des pays orientaux.
Éditeur : Philippe Rey
Où il est question d’agneau, proie d’une autorité « parentale » prête à toute déviance pour asseoir son pouvoir. Où il est question avant tout de littérature, et non de témoignage, pour comprendre les ressorts qui animent ces « tristes tigres ».
Où il est question de résilience, de tentatives d’explications, sans but cathartique, et surtout de vie à poursuivre, sans apitoiement, malgré les traumatismes et opprobres.
Éditeur : P.O.L.
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