Une enquête sur la mort d’une adolescente en quatre saisons qui épousent, l’une après l’autre, le point de vue de quatre personnages.
Un livre sur les non-dits qui oblige le lecteur à changer de perspective et à explorer les concepts de culpabilité, d’innocence et d’empathie.
Editeur : Olivier
Un beau roman riche de gravité et d’infinie tendresse.
Un personnage habité par le désir de protéger les plus fragiles, les enfants exposés à la violence dans les pays en paix comme dans les pays ravagés par les guerres.
Une lecture qui ne peut laisser indifférent.
Editeur : Albin Michel
Dans une langue délicate et sensible, Abigail Assor nous raconte la brutalité de l’enfance et les blessures de l’amour contrarié. David et Olive sont frère et sœur jumeaux et ils s’adorent. Olive est une petite fille intelligente et belle – une enfant réussie aux yeux de sa mère – tandis que David est un jeune garçon différent qui souffre d’un retard de développement – un enfant raté selon sa mère. L’écriture déploie alors la souffrance d’Olive, elle qui veut aimer son frère sans perdre l’amour de sa mère.
Poignant et douloureux, ce récit sur l’amour fraternel place le lecteur à hauteur d’enfant.
Editeur : Gallimard.
Nous remercions Sébastien Lapaque venu présenter son livre « Echec et mat au paradis » paru aux éditions Actes Sud.
Un texte à la fois érudit, passionnant et émouvant.
Un échange imaginaire basé sur une vraie rencontre entre deux grandes figures de la littérature du XXème siécle, Georges Bernanos et Stephan Zweig, tous deux exilés au Brésil, et ce quelques semaines avant le suicide de l’auteur autrichien et de son épouse.
Une reconstitution de l’univers des deux écrivains inscrite dans l’histoire politique et littéraire du Brésil, véritable enquête nourrie de nombreux voyages, recherches, rencontres, entretiens, et lectures.
Un récit qui aborde avec justesse le désespoir, le renoncement, la perte d’identité et questionne l’original du mal.
Une heure durant nous avons plongé au cœur d’une fresque historique, géopolitique et romanesque.
Une heure durant nous avons voyagé au sein d’une terre biblique et mythique, berceau et tombeau d’empires, située entre le Tigre et l’Euphrate, et qui au début du XXème siècle, loin de sa superbe après la chute de l’Empire Ottoman, suscite la convoitise de l’Empire britannique à son apogée, mais aussi celle des impérialismes français, allemand, russe puis américain.
Une heure durant nous avons découvert les coulisses du pouvoir, où politiques, diplomates et espions rivalisent d’imagination, de ruse mais aussi de cruauté et de cynisme pour dessiner les frontières du futur royaume irakien comme du Moyen-Orient moderne.
Une heure durant enfin nous avons rencontré des personnages historiques passionnants, de Lawrence d’Arabie au roi Fayçal en passant par Churchill et bien entendu Gertrude Bell, figure centrale, sans doute une des femmes les plus puissantes et les plus brillantes des années 1920, et cependant héroïne aux amours malheureuses et au destin triste que l’Histoire n’aura pas ou très peu retenue.
Un immense merci à Olivier Guez pour son formidable roman « Mesopotamia » paru aux éditions Grasset.
Avec une force d’écriture remarquable ce roman nous emporte dans les dédales de l’histoire du Moyen-Orient à la fin de la Grande Guerre et nous fait découvrir Gertrude Bell, une femme d’envergure au destin passionnant.
Editeur : Grasset.
Dans le Paris des années 30, Pierre veut faire publier son livre en mémoire de son père. Chez un petit imprimeur, il croise Nina, une jeune militante anarchiste, qui l’entraîne dans sa fuite. Ainsi commence leur relation mouvementée.
D. Maisons nous fait redécouvrir des luttes pour des valeurs très en avance sur leur temps.
Un roman rythmé où l’on croise Blum, Mitterrand, Kessel, Hemingway, Errol Flynn.
Editeur : La Martinière.
Un texte empreint de mélancolie et d’onirisme qui nous fait voyager dans les souvenirs d’enfance du narrateur. De retour dans sa ville natale au Maroc qu’il a dû quitter en raison de son homosexualité, Youssef nous parlera d’amour, de rejet, de pardon, de vengeance et d’exil.
Editeur : Julliard.
Quelle belle façon de commencer la rentrée littéraire !
Heureux et chanceux d’avoir reçu à la librairie Les Chemins du Livre la romancière Nino HARATISCHWILI — en tournée en France — venue présenter son nouveau roman « La lumière vacillante » paru aux Editions Gallimard et traduit de l’allemand par Barbara Fontaine.
Un beau moment de partage en compagnie de l’autrice géorgienne qui signe, après le roman « La huitième vie », une fresque ambitieuse et vertigineuse mettant en scène quatre amies d’enfance à travers les chaos et les déchirures de la Géorgie contemporaine. Un parcours de lecture intense et émouvant.
Un grand merci à l’interprète Cornelia Gaiser ainsi qu’au public enthousiaste et nombreux.
Un personnage à la recherche du passé familial pour vaincre les silences… Quand les fils du passé s’assemblent, les douleurs nourrissent la vengeance ou le pardon.
C’est le récit tendu, à la fois fort et fragile dans son humanité, que G. Faye nous propose.
Éditeur : Grasset
En s’aventurant dans les pas de Cesare Pavese, à Turin comme dans les collines du Piémont, l’auteur révèle les derniers jours qui séparent la mort d’un écrivain de celle d’un homme.
Entre émotion et fascination, Pierre Adrian brosse le portrait d’un écrivain fragile et taciturne que ne peuvent sauver ni ses relations amicales ni son talent reconnu, tout en évoquant l’attachement des paysages qui façonnent les êtres.
Éditeur : Gallimard
