Un texte empreint de mélancolie et d’onirisme qui nous fait voyager dans les souvenirs d’enfance du narrateur. De retour dans sa ville natale au Maroc qu’il a dû quitter en raison de son homosexualité, Youssef nous parlera d’amour, de rejet, de pardon, de vengeance et d’exil.
Quelle belle façon de commencer la rentrée littéraire !
Heureux et chanceux d’avoir reçu à la librairie Les Chemins du Livre la romancière Nino HARATISCHWILI — en tournée en France — venue présenter son nouveau roman « La lumière vacillante » paru aux Editions Gallimard et traduit de l’allemand par Barbara Fontaine.
Un beau moment de partage en compagnie de l’autrice géorgienne qui signe, après le roman « La huitième vie », une fresque ambitieuse et vertigineuse mettant en scène quatre amies d’enfance à travers les chaos et les déchirures de la Géorgie contemporaine. Un parcours de lecture intense et émouvant.
Un grand merci à l’interprète Cornelia Gaiser ainsi qu’au public enthousiaste et nombreux.
Un personnage à la recherche du passé familial pour vaincre les silences… Quand les fils du passé s’assemblent, les douleurs nourrissent la vengeance ou le pardon.
C’est le récit tendu, à la fois fort et fragile dans son humanité, que G. Faye nous propose.
En s’aventurant dans les pas de Cesare Pavese, à Turin comme dans les collines du Piémont, l’auteur révèle les derniers jours qui séparent la mort d’un écrivain de celle d’un homme.
Entre émotion et fascination, Pierre Adrian brosse le portrait d’un écrivain fragile et taciturne que ne peuvent sauver ni ses relations amicales ni son talent reconnu, tout en évoquant l’attachement des paysages qui façonnent les êtres.
Cette histoire, c’est avant tout celle d’une amitié spéciale qui se noue entre deux femmes de milieu modeste, Rose-Marie et Farida ; mais c’est aussi celle d’un combat romanesque qui se déploie sur plusieurs plans. En effet, à travers ses personnages, l’auteur écrit un livre engagé qui prend position par rapport à l’histoire, notamment la guerre d’Algérie, et qui défend l’importance de l’éducation et de l’accès au langage.
Hiver 1939. Staline est à la tête de la plus grande armée du monde et pense envahir et soumettre la Finlande en quelques jours. Mais c’est sans compter l’extraordinaire pugnacité et la résistance d’un peuple qui défend sa terre et les siens.
Dans ce roman historique documenté, O. Norek nous immerge dans cette guerre en s’intéressant plus particulièrement à la figure de Simo Hâyhâ, le plus grand sniper de tous les temps, devenu légende de son vivant.
Quatre amies d’enfance à travers les chaos et les déchirures de la Géorgie contemporaine. Quatre vies de femmes qui ressurgissent à travers des clichés photographiques.
Quatre amies d’enfance à travers les chaos et les déchirures de la Géorgie contemporaine. Quatre vies de femmes qui ressurgissent à travers des clichés photographiques.
Magnifique moment de découverte et de partage ce vendredi en compagnie des éditions Paulsen et d’Alexis Jenni.
Le temps d’une soirée nous avons voyagé au cœur des livres des éditions Paulsen qui ont en commun de nous faire découvrir et comprendre notre planète à travers le récit ou le témoignage d’aventuriers, de scientifiques, d’intellectuels et de romanciers. Un catalogue riche de biographies, d’enquêtes et d’explorations.
Un naturaliste sur le toit du monde », coup de cœur de la librairie, signé Alexis Jenni, se savoure comme un portrait passionnant et émouvant de Francis Hallé, dévoilant l’homme, le scientifique, l’artiste et l’amoureux des arbres.
Un portrait où transparaissent la complicité, l’admiration, une passion commune pour la science, pour les arbres et le dessin.
Un récit qui porte sur les relations que les sciences entretiennent avec l’émerveillement.
Un texte qui fait place à l’humour et à l’auto-dérision, qui fait la part belle aux métaphores et référence des œuvres littéraires.
Un livre érudit, pédagogique et enthousiasmant qui encense la beauté du monde vivant.
Un grand merci à Alexis Jenni, aux éditions Paulsen et au public venu en nombre.
Un magnifique huis-clos dans un lieu mythique rythmé par le journal fictif du célèbre barman Frank Maier imaginé par l’auteur.
De nombreux personnages fascinants qui se dévoilent ou dissimulent leur identité au péril de leur vie. La comédie tragique de l’Occupation dont le barman est à la fois le spectateur habile et perspicace et l’acteur en résistance.
Un livre qui a le mérite de nous rapprocher d’un monde que l’on a tendance à vouloir tenir loin de nous et à passer 24 heures dans la vie d’une prostituée transsexuelle.
Une écriture marquée par l’exil et la solitude, mais qui célèbre également la solidarité féminine et la force de vie.
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