Une mère justicière en quête de sa fille disparue et la ville de Boston, toutes deux en ébullition au cœur de l’été 1974.
Un récit palpitant et bouleversant qui dresse le portrait de personnages attachants et ambivalents au sein d’une cité gangrenée par la violence et le racisme exacerbés par la déségrégation imposée aux écoles publiques.
Retour attendu et réussi par l’auteur de Gone Baby Gone, Mystic River et Shutter Island.
Préparant un documentaire sur les orques, Sébastien assiste à l’attaque d’un dresseur (Ludo) au parc aquatique de Nice. Malgré des blessures légères, Ludo meurt à l’hôpital ainsi que son ami journaliste (Marius), quelques temps après, lors d’une partie de pêche. Que cachent ces disparitions inquiétantes ? Sébastien va tenter de le découvrir…
Après L’os de Lebowski, V. Maillard crée de nouveaux personnages attachants et nous amène à nous interroger : que peuvent peser nos soucis du bien-être animal et de l’écologie face aux intérêts financiers et politiques ?
Le poisson d’Arthur risque de mourir d’ennui. Sa mère propose de lui dire un poème. Mais qu’est-ce qu’un poème ? Un album tendre et facétieux, aux peintures colorées, pour un hymne à la poésie.
Dans l’Allemagne réunifiée des personnages tourmentés dans leurs relations aux autres, meurtris par les silences, les secrets et les replis idéologiques.
Après avoir écrit notamment sur Stefan Zweig et Romain Gary, Laurent Seksik ne se départit pas de son talent de narrateur de la grande Histoire au cœur de récits plus intimes.
Il signe non pas une biographie classique sur la vie et l’œuvre de Franz Kafka mais un roman nourri de cinq ans de recherche, d’une impressionnante bibliographie et de nombreuses correspondances de l’auteur pragois.
Un roman aussi érudit qu’émouvant qui traverse le XXème siècle.
Après une mésaventure sentimentale et professionnelle, Allis décide de refaire sa vie comme aide à domicile. A sa grande surprise, l’homme qui l’emploie est encore jeune.
Entre attrait et angoisse, A. Ravatn signe un huis clos captivant.
La révélation posthume de l’œuvre d’Emily Dickinson donne à voir et à ressentir le talent de la poétesse américaine.
Le portait lumineux et sensuel des femmes lui ayant survécu et grâce auxquelles les poèmes pourront être publiés questionne le deuil, l’absence et le pouvoir des mots.
Deux ans après son vibrant hommage à Emily Dickinson dans « Les villes de papier », Dominique Fortier récidive avec une prose délicate et envoutante et réserve une place aux confidences personnelles.
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